Bien débuter en MAO: 7+1 conseils clés pour progresser en flèche

Composer une musique sur ordinateur  7 conseils clés pour bien débuter en MAO  ImageTu aimerais savoir comment bien débuter en MAO sans te perdre dans tout ce flot d’informations ?

Ou peut-être es-tu déçu de tes premiers essais en production musicale ?

Il est vrai que le tsunami de choses à encaisser au démarrage donne envie de vite refermer cette boîte de Pandore.

Je le sais car, chaque semaine, je reçois des dizaines d’e-mails de débutants aussi désemparés qu’un touriste Japonais largué en plein Paris. Et bien souvent, les mêmes questions reviennent.

C’est pourquoi je te partage dans cet article les 7 (+1) conseils fréquemment échangés avec mes sympathiques abonnés newsletter.

—> Tu vas trouver ici de quoi raviver le feu dans tes tripes et te donner toutes les chances de bien progresser en MAO.

“Je sens que je progresse à ceci que je recommence à ne rien comprendre à rien.”

Charles-Ferdinand Ramuz

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1) La meilleure manière d’échouer quand on débute la MAO

Tu veux apprendre à conduire une voiture ?

Bien, alors :

  1. enfonce la pédale d’accélérateur ;
  2. regarde devant, derrière, tes rétros, tes angles morts ;
  3. lis le code de la route posé à l’arrache sur tes cuisses ;
  4. et euh… t’as pensé à attacher ta ceinture ?

Essaie de tout gérer en même temps, et tu seras certain de te manger le pare-brise au premier virage.

C’est exactement ce qui arrive aux débutants home studio

On arrive la bouche en coeur dans ce tout nouvel univers. De merveilleuses choses pétillent devant nos yeux. Alors on se donne souvent pour objectif de tout maîtriser, le plus tôt possible :

  • le mixage / mastering ;
  • le matériel dernier cri ;
  • les plug-ins de studio au « son pro » ;
  • les astuces fignolage des experts ;
  • etc.

Au final, en plus de te trouver au bord de la déglutition d’informations, tu ne sais plus trop, ni par quoi commencer… ni dans quel ordre.

Alors échelonne ton apprentissage

Un aspect pri-mor-dial pour réussir.

Car la masse de savoir à accumuler va te mettre une pression plus grande encore que ce gars qui t’étouffait de son gros cul aux premiers cours de judo.

Sans la bonne approche dans ton apprentissage, tu vas virer rouge carmin et taper sur le tatami en un éclair.

Oublie donc les sujets trop avancés si tu débutes

Prenons le mixage, par exemple. C’est la dernière étape de production de ta musique… et pourtant beaucoup veulent le maîtriser dès le départ. C’est pas bizarre ça ? (bon… j’avais fait l’erreur aussi)

Mais, si tu veux créer une musique qui sonne bien, tu dois d’abord apprendre à :

  • figer et maitriser ton home studio ;
  • composer tes mélodies et suites d’accords ;
  • enregistrer proprement ;
  • programmer des instruments virtuels réalistes ;
  • structurer et orchestrer ta production ;
  • etc.

Un meilleur chemin pour le débutant MAO

Ne t’embête donc pas trop avec le mixage ou le mastering au départ et concentre-toi sur ces points essentiels AVANT. Il te permettront d’atteindre un très bon rendu sonore sans te taper trop de notions complexes d’ingé son. (qui donnent vite des boutons)

Résultat ? Tu augmenteras tes chances de rester chaud patate tout au long de ton apprentissage.

Bien. Voyons à présent le nécessaire vital à emporter avec toi dans ce raid créatif.

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2) Une matière sonore en or

En home studio, comme en studio pro, la bonne qualité du son à la source est primordiale : elle t’évite de bidouiller avec des effets en fin de production.

C’est comme pour les autres arts

Que ce soit en peinture, en sculpture ou en toilettage de caniche royal, avec une bonne matière de départ, tu obtiens un meilleur résultat.

Pour nous, une bonne matière sonore est synonyme de beaux instruments, vibrants et correctement enregistrés. Et voici trois filons pour t’en procurer :

a. Bien enregistrer tes propres sons

Que ce soit ta voix ou tes instruments favoris, apprend à bien capter leurs sonorités. Un enregistrement avec du souffle, un mauvais son dû à ta salle (ou aux engueulades fenêtres ouvertes de tes voisins) ou même un timbre peu flatteur fera de suite clignoter ta production comme amateur.

Alors pour éviter cela, élimine les nuisances autour de toi et positionne ton micro pour capter le meilleur son de ton instrument.

b. De bons instruments virtuels

Il s’agit de générateurs de sons intégrés dans ton logiciel MAO (en natif ou en version plugin) que tu piloteras via des pistes MIDI. En clair, tu leur dit quoi jouer grâce à des espèces de partitions (séquences midi) et les instruments virtuels interprètent ces notes.

C’est comme si tu avais Joe le flûtiste ou Bernadette l’accordéoniste directement dans ton ordinateur.

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Voici une séquence MIDI : la partition des temps modernes de nos logiciels MAO.

2 atouts de poids :

  • Ils sont généralement enregistrés dans un studio professionnel.
  • Ils reproduisent plus ou moins fidèlement le jeu d’un véritable instrumentiste (pour peu que tu apprennes à bien programmer leurs séquences de notes MIDI).

Tu peux ainsi obtenir une bonne matière sonore de départ. L’inconvénient, c’est leur prix. Il te faut souvent vendre un rein pour obtenir de tels instruments.

C. Te servir de samples déjà prêts à l’emploi

Ce sont des échantillons audio, des bouts de musique que tu peux retravailler et ré-assembler façon puzzle pour créer ta propre musique. Je te montre dans cette vidéo comment faire.

  • Tu peux télécharger des samples gratuits ici (et légalement… je précise).
  • Tu peux aussi faire appel à des sociétés comme Splice. C’est moins cher que les instruments virtuels, mais c’est souvent par abonnement.

Si tu as regardé la vidéo sur ma chaine Youtube, tu te rendras compte que manipuler les samples demande de savoir corriger le tempo, transposer, re-découper, re-caler, etc. C’est l’inconvénient, mais perso, je trouve ce jeu de patchwork passionnant et créatif.

D’ailleurs, certains logiciels MAO s’en sortent mieux que d’autres à ce sujet. C’est ce que l’on voit maintenant.

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3) Choisis bien ton tableau de bord

Équipe toi d’un bon logiciel d’enregistrement multipiste que l’on appelle aussi logiciel MAO, DAW (Digital Audio Workstation) ou encore STAN en français (station de travail audio numérique).

LE pilier couteau suisse de ton home studio. (si Mike Horn ne devait emporter qu’un seul outil, ce serait celui-là)

Ce logiciel te servira entre autre à :

  • Enregistrer tes performances audio.
  • Programmer tes séquences MIDI pour piloter tes instruments virtuels.
  • Retravailler, éditer tes échantillons audio et MIDI.
  • Traiter le son de tes différentes pistes pour obtenir une qualité optimale.
  • Combiner le tout en un fichier son exportable.

L’erreur fatale de beaucoup de débutants

Souvent, on se rue au départ sur des logiciels gratuits et peu performants (comme Audacity) ou alors des solutions sans ordinateur (enregistreur hardware, console de mixage et dictaphone).

J’en suis passé par là aussi et c’est une perte de temps aussi colossale que d’essayer de manger du couscous avec des baguettes… (spoil pour ceux qui n’ont pas essayé : c’est compliqué)

Pourquoi ?

Car dans les deux cas, tu ne peux pas affiner correctement le son de chacune de tes pistes et tu te retrouveras bloqué à un moment dans ta progression.

C’est comme si tu trouvais qu’un logiciel de traitement de texte type Word était trop compliqué et que tu te rabattais vers une solution type Notepad ou même… « une bonne vieille machine à écrire ».

Le bon outil dès le départ

Pour bien démarrer, je te conseille d’opter pour un véritable logiciel MAO et d’apprendre à le prendre en main dès aujourd’hui.

Ceux que je te conseille au départ :

  • Garage Band (Apple uniquement) ;
  • Pro Tools first (bien si tu veux te spécialiser ensuite dans les studio pro) ;
  • Ableton Live Lite (polyvalent et puissant, autant pour l’audio que pour le MIDI – celui que j’utilise).

Ils sont en général proposés avec l’achat de matériel comme une interface audio ou un clavier maitre.

Et d’ailleurs, parlons un peu matos…

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4) Matériel MAO débutant : Le triangle magique de départ

Je vais aller contre la tendance du web (et risque même de me fâcher avec ceux qui vivent de la promo sans cesse de nouveaux matériels), mais je dois te partager mon expérience :

  • Ce n’est pas parce que tu vois des vidéos dans lesquelles les gens utilisent un clavier maître tout scintillant que tu dois faire pareil.
  • Ce n’est pas non plus parce que tout le monde a une interface audio que tu dois aussi en avoir une dès le départ.

Cela dépend des cas

  • Si tu n’es pas à l’aise sur un clavier, tu peux aussi composer à la souris. Beaucoup le font (dont ton humble serviteur). La souris remplace juste la plume du compositeur de l’époque : le geste n’en est pas moins noble. (même si, c’est vrai, tu manipules un bout de plastique au lieu de la belle parure d’un animal ailé)
  • Si tu ne travailles qu’avec des sons de ton ordinateur, samples ou instruments virtuels, tu pourras te passer d’interface audio pendant ta phase débutant. (tu en auras juste besoin pour attaquer l’apprentissage du mixage et du mastering)

Le piège de la course aux achats

Piège que je connais trop bien… (des années et des milliers d’euros passés direct aux toilettes).

À chaque fois que tu achètes du matériel, tu perds une masse énorme de temps, et ce, à deux reprises :

  1. pour le sélectionner, en te tapant tous les avis et les tests sur Internet ;
  2. pour le maîtriser, en épluchant les tutoriels d’utilisation et le mode d’emploi.

Pendant toute cette période, tu ne crées aucune musique. Tu es un pilote qui passe plus de temps à faire du tuning de sa voiture qu’à réellement noircir du bitume sur un circuit.

Zéro progression.

Donc au départ, concentre-toi sur un kit MAO minimum

… et ajoute des outils au fur et à mesure de tes besoins réels, quand tu auras assez d’expérience pour constater un véritable manque.

Sache qu’avec trois fois rien, tu peux déjà créer des musiques à fort impact. Voici un exemple de morceau que j’ai crée pour un projet vidéo.

Maquette d’une de mes musiques

Je l’ai produit avec juste :

  1. un logiciel MAO (Ableton Live);
  2. quelques instruments virtuels ;
  3. un casque.

Bien. Abordons maintenant un autre sujet sensible…

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5) La théorie musicale : utile ou pas ?

Cette fameuse bête étrange fait souvent peur aux débutants (surtout ceux avec peu/pas de cursus musical). Hors si tu sais bien t’en servir, elle peut devenir un allié précieux en production home studio. Je développe.

Mieux percevoir la théorie musicale

Déjà, elle n’est pas réservé à une élite de conservatoire qui se balade en queue de pie.

Vois-la juste comme un héritage précieux de nos ancêtres compositeurs. Comme si le jus de toutes leurs expériences était condensé en un cocktail qui se transmet et s’enrichit de générations en générations.

Nos chers prédécesseurs ont développé des outils pour mieux transformer les ondes sonores en oeuvres magistrales. Il serait dommage de s’en passer, non ?

Quelques mécanismes de base te feront gagner un temps fou

C’est le cas de la création des 2 éléments fondamentaux dont tu auras besoin pour mener à bien ta composition :

  • la création mélodique
  • la construction de suites d’accords

Certains vont y passer des heures, alors que cela peut se torcher en 20 minutes si tu sais comment chercher. C’est comme lorsque tu perds tes foutues clés de voiture… si tu sais quels endroits suspecter en premier, tu les trouveras plus vite.

OK, et… toutes les musiques se ressemblent ?

Tu as peut-être peur de ne pas être original en utilisant les mêmes outils que les autres ?

Alors, dis-toi bien que les 3/4 des musiques que tu entends en occident répondent à quelques règles mélodiques et harmoniques simples. De Bach à Michael Jackson, en passant par Metallica…

Tu peux comprendre comment ces musiques sont construites si tu connais la théorie de base. Et crois-moi, cela t’apparaîtra ensuite bien moins compliqué, mystérieux ou hasardeux.

Alors ne réinvente pas la roue

En fait, tu n’as pas grand-chose à apprendre au départ. Pas besoin au début de te te flageller d’encyclopédies poussiéreuses de solfège ou de lecture de notes sur une portée. Essaie juste de comprendre comment créer une mélodie et comment créer une suite d’accord efficace.

Je t’ai mis des liens vers d’autres articles utiles.

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6) L’arrangement : une étape charnière (beaucoup) trop sous-estimée en home studio

Quand tu cherches « comment créer sa musique en home studio » sur internet (mise à part une foule de matos proposée) tu tombes souvent sur des conseils en composition ou mixage.

Rappel sur ces 2 notions cruciales

  • Composer une musique, c’est poser le croquis de ton oeuvre : créer les premières mélodies principales, les suites d’accord et les différents rythmes. Tu dessines au crayon à papier.
  • Mixer une musique, c’est faire en sorte que les différentes pistes de ta production soient propres, s’agencent bien entre-elles, et forment un tout uni.

L’une intervient au début de la création musicale et l’autre vers la fin.

Entre les deux, tu as l’enregistrement, la programmation MIDI et l’arrangement. Tu repasses tes traits au feutre noir et tu ajoutes de la couleur.

Le rôle de l’arrangement

Un bon arrangement doit être pire que du crack. Il immergera ton auditeur dans ton univers musical et le rendra accro à chaque note, du début à la fin.

Pour cela :

  • Tu vas structurer ta production afin de faire varier l’énergie, l’émotion véhiculée.
  • Tu vas ajouter des éléments d’orchestration afin d’apporter de nouvelles couleurs sonores et faire frétiller nos tympans.
  • Tu vas renforcer le rythme de ta musique pour nous faire gigoter sur place comme des babouins en transe.

Bref, tu vas passer ta production de la photo noir et blanc à la télévision haute en couleur. Ce n’est pas rien…

Pourquoi c’est si important ?

Car l’oreille humaine est une princesse capricieuse. Elle se lasse très rapidement lors d’une écoute (on est proches de quelques secondes d’attention seulement). C’est pourquoi tu dois veiller à nourrir sa gloutonnie, en lui proposant sans cesse du nouveau à se mettre sous la dent.

Sinon ? Eh bien, disons que le doigt de Damoclès est au dessus du bouton « next ». Il risque de zapper.

Fini le temps du tourne-disque à grand-papy là. À cette époque, si la fin d’un morceau était un peu longuette, on savait patienter.

Aujourd’hui, ta musique sortira probablement dans la jungle du streaming en ligne. Donc, si ce que tu proposes n’est pas assez sexy pour nos oreilles, on se laissera tenter par les appels du pied des quelques millions d’autres musiques qui gravitent autour.

Ne loupe surtout pas cette étape

Composition et mixage ne servent à rien sans un bon arrangement.

Vouloir mixer une composition sans l’arranger correctement reviendrait à poser des bougies sur un gâteau qui n’est ni monté, ni cuit.

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7) Un oeil devant, une oreille derrière : ton meilleur guide MAO

Même si au départ tes productions musicales ne sonnent pas bien (et on passe tous par là au début), arrache-toi pour les terminer.

Pourquoi ? 3 raisons…

Raison n°1

Déjà, parce que tu vas cumuler de l’expérience dans plusieurs domaines. Au lieu de juste te contenter d’une boucle basique et arrêter là ton morceau, tu vas :

  • créer plusieurs mélodies ;
  • tester quelques suites d’accords ;
  • structurer le tout ;
  • faire cracher le son à tes instruments virtuels ;
  • etc.

Tu auras donc appris sur plusieurs tableaux, tout en t’amusant et en découvrant tes outils. TRÈÈÈÈÈS important.

Raison n°2

Finir tes musiques te permettra de marquer un aboutissement.

À la place du lourd sentiment d’échec, tu pourras fièrement te dire que tu as terminé un projet (même s’il n’est pas parfait… et encore une fois, c’est normal. Tu peux écouter mes 1ères musiques ici si tu veux te rassurer). 

Tu ressentiras de l’accomplissement, le sentiment d’avoir gravit une nouvelle marche.

Et tu pourras alors non seulement te fixer des objectifs concrets, mais aussi repérer tes faiblesses et te motiver à les améliorer pour le prochain morceau.

Raison n°3

C’est également essentiel pour constater ta progression, car toutes tes musiques terminées deviendront de précieux témoins fossilisés de ton évolution.

Et de temps en temps, fais-toi ce petit boost de confiance et de plaisir : laisse trainer une oreille sur ces vestiges de ton apprentissage. Ré-écoute-les et constate le fossé énorme qui te sépare de tes débuts.

Tu réaliseras alors à quel point tu as progressé. VI-TAL pour ta motivation.

Et en bonus…

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8) La stratégie d’achats pour un débutant en MAO Home studio

Considère juste deux postes de dépenses importants lorsque tu débutes : tes outils et tes connaissances.

La production musicale t’ouvre les bras (derniers conseils)

Place tes pieds dans les starting blocks, relève la tête… et fonce !

  • Garde toujours les choses simples et fun. (c’est comme ça qu’on apprend le mieux)
  • Commence par des morceaux assez courts, avec assez peu d’instruments.
  • Essaie d’utiliser les sons que tu maîtrises le mieux ou qui ont le meilleur rendu. (Par exemple tu n’es pas obligé d’ajouter une batterie si tu ne maitrises pas et que cela détruit complètement ton morceau)

Avec les bons outils et les bonnes connaissances, tu pourras déjà accomplir de grandes choses, bien progresser en MAO et créer des musiques qui captivent tes auditeurs.

Tu pourras alors enfin les faire écouter autour de toi sans rougir…

… l’oeil brillant et le torse bombé à t’en péter les boutons de la chemise.

Oh, une dernière chose… à toi humain courageux arrivé jusqu’en bas de cet article :

Avant de partir, tu me dirais quel conseil t’a le plus marqué ?

J’adore échanger avec vous et cela me donne davantage d’idées ensuite pour vous aider toujours plus derrière.

—> Alors n’hésite surtout pas, et partage-moi en commentaire :

  • tes impressions ;
  • ce que tu comptes faire après cette lecture ;
  • tes remarques, un bisou…
  • bref, ce que tu veux.

Bons débuts en MAO 🙂

Julien Moulinié-Chaumel
 

Musicien passionné par l'univers Home-studio, Julien doit encore être en train de rassembler ses idées pour écrire des articles bien détaillés. Et tout ça avec un seul but: t'aider à créer dès maintenant ta propre musique.

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